Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Creux dits

24 mai 2010

Contrariés ou contraignants les silences dans cet

Contrariés ou contraignants les silences dans cet aspect-là me convenaient pour leurs failles. Seulement à cette heure, fanée ou moins ambitieuse, j'opte pour les phrases de moi même un peu aussi pour les autres, au singulier les deux intimités.
Publicité
20 mai 2010

Je dix simule ou dans les journées qui suivent on

Je dix simule ou dans les journées qui suivent on me traînera, c'est certain, dans la plus solaire des comparativo-reprochables, poussières. Parfois c'est indispensable, d'avoir soif. Ces jours-ci ça me manque de ne plus, fermer les yeux pour ailleurs....
16 mai 2010

Quand bien même je crierai, depuis mon dos tourné

Quand bien même je crierai, depuis mon dos tourné et ailleurs en pleurs je. Dans le gris du pays les accueils charnels, à en être bavard-boulimique. Quand bien même je n'économiserai pas l'aventure, le bon tranchant serait, sans ce que je me figure gris...
13 mai 2010

Brouillon ou golden toast je me demande à

Brouillon ou golden toast je me demande à l'instant. Drôle instant d'être à se trouver tant de matière dans les mains sans vraiment la peser en comprendre ni considérer ses directions. C'est bête les perspectives parfois d'un point pas toujours bien exploré,...
11 mai 2010

Le 14 mars 2009

C'est autrement distant mais c'est pareil.
Publicité
4 mai 2010

Ne plus se reconnaître en beau. Marcher vers.

Ne plus se reconnaître en beau. Marcher vers. S'attendre soi-même au coin de. Concentrer les manipulations à ne plus. Et se reconnaître petit plutôt qu'innocent.
4 mai 2010

Jeudi 22 janvier 2009

Me revoilà à dire de l'incompréhensible aux étroitesses de vocabulaire utilisé à toutes les sauces. Me revoilà avec mes thèses de souvenirs aux présents équilibrés d'absences d'horizon, des résonances exquises et de mes jubilations de fictifs froncements...
4 mai 2010

Mardi 3 février 2009

Et ça se voyait sur mes yeux aux cernes bleues comme mon bras droit, à l'iris gris comme mon bras gauche.
3 mai 2010

Fou ça tourne,

Je me surprends à me jurer à moi-même que non non, ce n'est pas un train qui passe et mon immeuble qui vacille puisque je ne l'entends pas, mais bien mon cœur qui bât comme les jours trop caféinés et me fait un peu battre la mesure sans vraiment me demander...
3 mai 2010

Il y avait des longueurs au point de ne s'étonner

Il y avait des longueurs au point de ne s'étonner de rien. Pourtant, ça ne se contestait pas. Chacun riait un peu des autres mais pas tout à fait autrement qu'avec de l'air et des poumons et rien que pour être surpris. Ou agacé de ces longueurs longues...
Publicité
<< < 1 2 3 > >>
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Publicité